SUMMARY
Fingerprint identification has long been used by law enforcement to either identify or eliminate potential suspects in a case. It relies on friction ridges – the upraised skin that forms grooves on fingers – and friction ridge impressions, which form from natural secretions of sweat and other trace components. Latent prints, a common term for friction ridge impressions, have many benefits and advantages as a type of forensic evidence. However, they are not a perfect tool: wrongful convictions identified by post-conviction DNA testing and the re-evaluation of forensic evidence have spawned criticism and investigation into the scientific basis of this branch of forensics. This literature review examines literature in both the scientific and legal fields, and investigates three main themes: the principle of uniqueness assumed in individualization, the presence of cognitive bias and human error in analysis, and the changing role of expert testimony in court. There are arguments both for and against uniqueness, but it is still difficult to prove using statistical models and data analysis. Bias in examiners, on the other hand, undeniably exists in different ways, and should be actively guarded against in fingerprint analysis and expert testimony. Expert witness testimony that misleads, exaggerates, or is scientifically unsupportable has been linked to wrongful convictions in the past, highlighting the importance of careful regulation of how an expert witness is advised to testify. In addition to these topics, the techniques of collecting latent print evidence and the standard procedures of analysis have also been examined and evaluated for potential sources of error. Le maintien de l’ordre public utilise depuis longtemps les empreintes digitales pour identifier et éliminer des suspects d’une affaire criminelle. Les empreintes digitales se ent aux cre^tes papillaires — les cre^tes et les creux qui formes des rainures sur les doigts — et des empreintes des cre^tes papillaires, ce qui se forme par les sécrétions naturelles de transpiration et autres composantes de traces. Les empreintes latentes, un terme courant pour les empreintes digitales, posse`dent plusieurs avantages en tant qu’élément médico-légal de preuve. Toutefois, ce n’est pas une ressource able; des condamnations injustifiées identifiées par un test d’ADN post-condamnatoire et la réévaluation de l’évidence médico-légale ont frayé des critiques et des enque^tes de la base des sciences des empreintes digitales. Cette revue examine les textes dans les domaines scientifiques et médico-légaux, et examine trois the`mes : le principe d’unicité assumé par l’individualisation, la présence d’un biais cognitif et l’erreur humaine dans l’analyse, et le ro^le changeant de témoignages experts devant la Cour. Il existe des arguments pour et contre l’unicité, mais l’unicité est tout de me^me difficile a` prouver en utilisant les mode`les statistiques et l’analyse de données. Un préjugé chez les examinateurs, d’autres parts, existe incontestablement, et devrait e^tre activement évité lors de l’analyse d’empreinte digitale et de témoignages experts. Le témoignage d’expert qui induit en erreur, qui est exagéré ou qui est scientifiquement faux a mené a` des condamnations injusti ées dans le passé, ce qui met en évidence l’importance d’une législation prudente sur comment l’expert est conseillé de témoigner. En plus de ces the`mes, les techniques de collecte des empreintes digitales latentes et les procédures normales d’analyse ont aussi été examinés et évalués pour des sources d’erreurs potentielles.