SUMMARY
Les no man’s lands urbains, espaces non affectés, qui occupent aujourd’hui plus du tiers du territoire de la ville d’El khroub. Ce vide urbain produit et diffusé par la ville moderne et plus particulièrement par les ZHUN. Il est induit par des impératifs techniques nés de la nécessité d’assurer à chaque logement son quota d’air et de soleil. Impératifs érigés en règles intransigeantes de l’urbanisme moderne consacrés par la charte d’Athènes. S’ils posent aujourd’hui un problème d’espace urbain non cohérent dans son occupation spatiale, ils sont aussi une opportunité en termes d’assiettes foncières pour des interventions urbaines. Ce travail se voudrait une démonstration de cette double facette.